• https://mradio.fr/media/news/mylene-farmer-ce-fan-voulait-nommer-sa-fille-libertine-en-reference-a-la-chanteuse_64b8fcece526a.jpg

     

     

     

     

     

     

    Un visage libertin

     

     

     

    Laissant s’y refléter mon visage si libertin,


    Elle est si éclatante cette eau, qu'on peut.


    S’y admirer comme dans un miroir,


    Ses sillons pointent vers moi.


    Subtils, fugaces et caressants,


    Jouant avec les ombres avec ma démarche,


    Dans ce beau champ de coquelicots,


    Où j'irai m'allonger près de toi,


    Amoureuse radieuse et volupté,


    Où je m'abandonne dans les lits de tes ruisseaux,


    Pour sentir ta présence.


    Comme tout est silencieux et radieux,


    Rien ne bouge, on entend seulement.

     

    Les véritables chants des oiseaux mythiques,


    Qui accompagnent en silence nos désirs charnels ?


    Laisse-moi de nouveau rêver.


    Je serai réellement l’ange sauveur de tes uniques désirs.


    Laisse-moi une nouvelle fois me blottir dans tes bras.


    Laisse-moi un instant inoubliable près de toi.


    Toi mon authentique amour, nous irons

     

    De ce pas prudent toutes les deux uniques survivantes,


    Ton auguste main dans la mienne sauve, par-delà les monts.


    Dans cette vaste immensité

     

    Où le brillant soleil brille intensément…

     

    Auteure Françoise Le Vaillant


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    Le soleil se lève-t-il vraiment à l'est ? - Ça m'intéresse

     

     

     

     

     

     

    Le véritable jour se lève.

     

     

    Au crépuscule précoce de mes nuits sereines,

     

    Où tout sommeille paisiblement,

     

    Encore s'écoule en silence

     

    Et coule ce jour mémorable béni des dieux omniscients,

     

    Avec ce brillant soleil qui réveille

     

    Parfaitement la terre féconde

     

    Dans son manteau bleu scintillant,

     

    Comme des gemmes

     

    La faisant exactement renaître,

     

    Voilà une nouvelle journée météorisée.

     

    Et mon âme immortelle qui commence

     

    Réellement à croire sincèrement

     

    Que tout est beau dans ce monde réel,

     

    Que la vie est agréable quand on la prend

     

    Par les authentiques sentiments,

     

    Je serai réellement pour toi !

     

    Ô jour merveilleux ! Au soleil radieux ! Ô vivante étoile !

     

    Pour que tu renaisses plus belle encore,

     

    Toi qui es d'ici la terre nourricière qui a donné la vie,

     

    Je te protégerai comme mes yeux.

     

    Quand tu me les as offerts,

     

    Le jour décisif où tu m'as donné l'existence honorable,

     

    Toi le messie descend prudemment sur terre accueillante,

     

    Comme une immense multitude de Nova,

     

    Avec des papillons aux mille couleurs naturelles.

     

    Je me laisse séduire par ce ruisseau limpide.

     

    Alors que j'admirais tant cette eau si futile.

     

    Auteure Françoise Le Vaillant


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  • https://sceneweb.fr/wp-content/uploads/2023/07/la-question-avec-stanislas-nordey-au-festival-off-davignon-2023.webp

     

     

     

     

     

     

    La question,

     

     

    Tant de fois, je t'ai posé la question,
    Tu as systématiquement évité la discussion.
    Tu ne m'as pas répondu.
    On ne sait pas si les gens s'entendent vraiment.
    Moi-même, j'ai longuement pleuré.
    Je ne sais plus si nous nous sommes rappelés.
    Par pudeur, je ne vais pas appeler.
    On sait accrocher à nos souvenirs.
    Mais tu es parti sans te soucier.
    De ce que je suis devenue réellement.
    Tu avais tout prévu.
    Tu as disparu purement.
    Ça devait notamment durer un mois merveilleux.
    Tu es parti d'ici. Ça fait longtemps.
    Déjà, depuis ce temps dévolu
    J'ai effacé soigneusement tes traces sauves.
    J'ai même déchiré tes uniques lettres.
    Je n’ai rien gardé de notre véritable passé.
    Jeté discrètement tous t'est merveilleux présents,
    En fuyant d'ici mon véritable avenir, 

    Je l’ai rendu volontiers au véritable passé.
    Tu étais constamment dans mon cœur sincère.
    J'ai surmonté aisément tous mes malheurs réels.
    Seule dans la nuit étoilée,
    Je souffrais en silence d’insomnie.
    La vie aventureuse s'est arrêtée discrètement pour moi.
    J’ai cessé purement d'exister ce soir-là précis.
    Je me suis mise en évidence à boire en silence.
    J’ai sombré profondément dans l'ivresse totale.
    En détruisant méthodiquement 

    Chaque jour mémorable ma jeunesse romantique.

    J'ai passé régulièrement des véritables nuits. 

    À attendre patiemment.
    Seule dans le méandre,
    Seule dans ce grand lit,
    Où notre véritable amour a grandi davantage,
    J'ai souffert quelque temps sauf.
    Donnons-nous une dernière chance inespérée.
    Pour que nos corps désirables changent agréablement,
    Que nos véritables corps se cambrent davantage d'immense plaisir,
    Susurrant des mots plaintifs,
    Épuisés littéralement jusqu'à notre dernier souffle,
    Vivre distinctement sans véritables limites

     La volupté charnelle de l'authentique amour…

     

    Auteure Françoise Le Vaillant


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