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    Citation William Shakespeare homme : Souffle, souffle, vent d'hiver ; tu  n'es pas si cruel...

     

     

     

     

     

    Souffle le vent de l'hiver.

     

    À l'orée d'hiver, voici les premiers flocons

     

    Commencent leurs tourbillons.

     

    Soufflées par le vent,

     

    Respirant la douceur de la nuit,

     

    Dans la pourpre du soir

     

    Qui vient leur dire bonsoir ?

     

    Devant ma cabane, par terre,

     

    La neige tombe à gros flocons,

     

    Et ma corbeille se remplit.

     

    De neigetombée par le vent.

     

    C'est toi, caprice indomptable.

     

    Qui passes et qui t'envoles.

     

    Mes yeux s'envolent vers toi.

     

    Joue une aubade dans la nuit.

     

    Par une lune rousse

     

    De la nouvelle saison...

     

    Voici déjà dans la montagne,

     

    On voit tourbillonner les flocons.

     

    Du haut de cette véritable tour,

     

    Où la vue peut s'étendre au loin.

     

    Combien de fois ai-je pris entre mes doigts

     

    Cette neige argentée pareille à tes yeux,

     

    Noble chevalier de l'hiver

     

    Quand reviendras-tu réellement ?

     

    Pour la saison estivale des invincibles amours ?

     

    Auteure Franàoise Le Vaillant


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